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Cyclo-blog Magdalena DE SAINT JEAN |
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Vous pouvez retrouver un article paru dans le mensuel de référence Le cycle ici (PDF 3.8Mo).
Vous retrouverez mon interview par Vélo 101 en suivant ce lien.
Voici une liste de mes blogs et sites favoris :
N'hésitez pas à aller jeter un coup d'oeil à ces sites !
Ne pouvant pas rouler sur route ce week-end et le week-end dernier j’en ai profité pour réorganiser mon blog et intégrer une rubrique dopage. La finalisation de cette rubrique a été un peu laborieuse, et sa mise en ligne coïncide avec une semaine particulièrement chargée sur ce sujet. Il est inutile et particulièrement inconcevable de commenter des décisions de justice. Je préfère m’intéresser à la prévention, en appliquant le principe cher aux médecins « primum non nocere » (surtout ne pas nuire). Cette rubrique qui aurait pu s’appeler anti-dopage se veut didactique et pratique à défaut d’être exhaustive. Vous me direz si j’y suis parvenue.
Il y a 15 jours, j’ai vécu 2 moments forts avec la présentation du Team La Pomme équipe continentale Française qui a fière allure (interview du manager Fred Rostaing sur vélo101) et la chance de suivre la course la Marseillaise dans une voiture d’assistance de la société Vita (voitures rouges couleur Ekoï). Le patron, Francis Hottelet m’a trouvé une place, et j’ai découvert tout le travail réalisé par ces professionnels de la sécurité et du dépannage, sans oublier la couverture radio entre les différents intervenants (directeur de course, gendarmerie, radio-tour et j’en passe) qui vous fait vivre en direct tous les évènements de la course : les écarts, les incidents ou accidents. Bref, ce fut un grand moment sportif que j’ai vécu de l’intérieur, sans vélo, mais quel spectacle et quel professionnalisme !
Dans 8 jours, je serai à Dijon pour la présentation de l’équipe UCI ASPTT Dijon.
Tous mes vœux à celles et ceux qui suivent mon blog, et à celles et ceux qui ne le suivent pas… Depuis mon dernier post, j’ai été trop occupée pour donner de mes nouvelles, mais j’ai malgré tout continué à faire du vélo. J’ai même répondu à une interview pour Velo101 par Philippe Lesage en ce début d’année qui fait le point sur la saison 2011 et mes perspectives 2012. Alors bonne route à tous pour cette “Happy new year”.
PS : je vais mettre prochainement en ligne une rubrique dopage. A bientôt
D’abord parce que Sylvie Gaillon l’énergique, l’infatigable m’a proposée son projet 2012 avec Béatrice Thomas comme leader. Et non, je n’ai pas changé de club. Je suis licenciée au VC La Pomme Marseille pour 2012. J’ai même eu le grand plaisir de participer en partie (travail oblige) à leur 1er stage d’intégration cette semaine en vue de la saison à venir. Très bons moments, qui m’ont remotivé après une période un peu down (fin de saison, galère de déménagement, météo plus que pluvieuse). De la même façon que les coureurs masculins professionnels sont affiliés à un club FFC, je peux intégrer un team UCI, tout en étant licenciée à La Pomme. Je suis classée à l’issue de ma 1ère saison FFC à la 19ème place du classement des féminines et ce classement me fait passer en 1ère catégorie.
Pour celles ou ceux qui l’ignorent (amis cyclosportifs je pense à vous!), il existe 3 teams féminins UCI français : Vienne Futuroscope, GSD Gestion et l’ASPTT Dijon. Au niveau national, il existe des équipes Division Nationale avec la DN Bretagne, etc… et ESGL 93 qui vient de fusionner avec BigMat Auber et espère devenir équipe UCI en 2013. Je n’oublie pas l’équipe de France, mais pour cette année Olympique 2012, les places à Londres seront très limitées (3 serait le chiffre retenu). Les propos de Dannie Bonnoront dans la France Cycliste sont très clairs “A Londres nous pourrions être amenées à faire des projections sur l’avenir. Nous avons des jeunes qui arrivent et qui peuvent faire de belles choses sur les chrono… Il faut les amener tout doucement, progressivement vers le plus haut niveau. Cela passe par le travail, l’acquisition de l’expérience, et une confrontation répétée avec les meilleures”. L’avenir à court et moyen terme ne reposerait donc pas sur les plus de 40 ans. Je ne sais pas ce qu’en pense Edwige qui serait encore convalescente, mais je suis assez d’accord avec la sélectionneuse pour les générations prometteuses qui sont déjà là. Je n’en prends pas ombrage puisque pour moi en vélo, l’objectif est la saison qui est en cours (je suis déjà en 2012, comme nous l’a fait comprendre le coach du VC La Pomme). Comme en cyclosport, je ne me suis jamais dit "je ferais mieux l’année prochaine". C’est pour cela que j’essaye d’être au maximum pour ne pas regretter de ne pas avoir tout donné. Les courses FFC sont, il est vrai, plus tactiques, et qui dit tactique ne dit pas obligatoirement lactique 
Reste les quelques féminines qui sont en dehors de ces équipes et qui courent en quelque sorte en individuelle. Moi par exemple, mais la plus connue est Jeannie Longo, qui emmène le peloton au rythme, calée au milieu de la route avec tout le monde dans la roue sur toute la largeur du bitume. Au vu du nombre de titres, c’est un moyen de maintenir un rythme, de diminuer les à-coups d’un peloton prompt à annihiler les tentatives d’échappée et au final de se retrouver sur le podium comme elle l’a réalisé un nombre incalculable de fois. La championne de France 2011 Christelle Ferrier Bruneau a le même statut à moins que sa nouvelle équipe ait recruté des Françaises.
Fin 2011, à l’issue d’une saison riche mais compliquée , est-ce que je continue à courir en solo en 2012 avec toutes les galères pour construire une équipe mixte comme nous l’avons fait en 2011 pour la Ronde de Bourgogne avec l’équipe improbable Epinay-Ventoux, ou est-ce que j’intègre une équipe type DN ou UCI ? En 2011, j’ai pu apprécier les avantages de courir en solo, mais aussi les limites. L’aventure en groupe a probablement plus d’attrait. J’aime bien l’ambiance Team, même si en cyclosport on ne peut pas parler de course d’équipe de par la taille des pelotons, la longueur et la difficulté des parcours. J’ai beaucoup appris de mes leaders Jean Christophe Currit , Olivier Dulaurent chez Ekoï, mais aussi Jean Pascal et Michel Roux les homonymes chez Velo101. Alors avec Béatrice Thomas l’expérimentée comme leader, je pense que je fais le bon choix pour 2012. Le label UCI de l’équipe est une motivation supplémentaire pour participer à des épreuves de niveau international. La confrontation avec les autres équipes françaises lors des épreuves nationales devrait rapprocher les épreuves françaises des standards internationaux en terme de moyenne. Je ne suis pas obsédée par les moyennes, mais les courses trop tactiques sont souvent moins rapides. C’est un adage bien connu par les organisateurs qui essayent d’anticiper la moyenne “C’est les coureurs qui font la course” avec son corollaire quand les coursiers se regardent , le peloton n’avance pas bien vite. J’ai découvert en 2011 l’allant effréné des Juniors Hommes toujours partant pour en remettre une couche dans les courses FFC, avec les résultats que l’on observe et qui font que le vivier des Juniors Français semble parmi les plus riches. Alors vive la jeunesse et vivement 2012!
C’est l’exclamation de ma mère arrivant à la maison pour s’occuper de mes filles et qui croyait que j’allais faire comme d’habitude une course d’au moins une 100aine de km, et à qui j’ai répondu pas « du tout : 20,870 km ». Elle croyait que je blaguais, et il a fallu que je lui explique le b-a ba des contre la montre féminins. Je reprends son exclamation à mon compte, car si j’ai prolongé, que dis-je, si j’ai étiré ma saison jusqu’à aujourd’hui, c’était pour mieux appréhender cet exercice particulier qu’est l’effort dit solitaire, et pour y parvenir j'ai rajouté des séances de derny avec Jean Pierre, une gentleman près de Sorgues le week-end d’avant avec mon Président de club, Jean-Pascal Roux, 3ème équipe au scratch sur 20 km avec, en prime, le mistral.
Par chance, le début de saison a commencé sous des trombes d’eau et se termine avec un été plus qu’indien. A tel point que les 2 américaines présentes explosent le record de l’épreuve avec Neben à 44,775 km/h de moyenne à 19 secondes du vainqueur junior masculin Paul Moerland (Pays-Bas), les spécialistes apprécieront. Neben vient de faire 8ème au championnat du Monde, et elle était 2ème au Chrono des Herbiers en 2010 derrière Jeannie Longo dans des conditions plus hivernales. Kristin Armstrong, championne olympique en titre du clm fait 2ème à 9 petites secondes, elle qui avait été privé de championnat du Monde 2011, était manifestement bien préparée. Ensuite tir groupé des Russes, avec Antoshina, la leader de Gauss vainqueur du Trophée d’Or et la jeune et prometteuse Olga Zabelinskaia, championne du Monde Junior 2011 du clm devant PFP (scoop velo 101: Pauline vise une double sélection au JO 2012 Route et VTT dans l’interview de Cyril Lagneau Team Manager Lapierre. Pour info, Olga fait 16ème à Copenhague lors du chrono des élites féminines.
Aucune Française n’est descendue sous les 30 minutes. Jeannie portait le dossard 1 et se classe 1ère Française et 8ème au général à 2’17 de Neben, alors que Mélodie Lesueur est à 5’’ et que je suis 12ème et 3ème Française, juste devant Aude Biannic. C’était mon 3ème chrono mais je ne suis pas vraiment satisfaite.
Mon analyse de ce chrono : j’aime le chrono, mais pour l’instant le chrono ne m’aime pas…Beaucoup de chose à améliorer surtout côté maîtrise de matériel (notamment, je ne passe pas suffisamment vite dans les virages), position etc. Aux Herbiers, organisation irréprochable avec un niveau assez élevé, probablement en partie lié aux points UCI attribués. Il manquait les trois 1ères du Championnat du Monde 2011, mais la vainqueur du jour Neben avec sa 8ème place au clm de Copenhague était dans la même minute qu’Arndt, championne du Monde et Vos ce jour-là. L’année prochaine, si je refais ce chrono, j’aurai davantage de repères. Allez, je vais couper un peu, parce que même si j’ai fait moins de courses que les cyclistes féminines professionnels, j’ai tout de même couru de mars à octobre, sans véritable break, et j’ai besoin de laisser le vélo de côté quelque temps. Tout ça pour ça !!
Ce dimanche 02 octobre était organisé une des dernières cyclosportives de l’année : la Marseille Cyclo Classic. Cette épreuve originale qui n’en est qu’à sa 2ème édition mérite un peu de publicité pour rassembler davantage de cyclosportives et cyclosportifs. Nous étions un peu plus de 300, quand la doyenne des Bouches du Rhône (les Bosses du 13) regroupe quasiment 10 fois plus. Mais ceux qui ne sont pas venus sont passés à côté d’une belle épreuve. Comment la décrire ? Une épreuve par handicap avec un seul parcours de 110 km pour 1500 m de dénivelé, dont le départ pour des raisons de sécurité est fixé à 12h30 sous un grand soleil. Auparavant, nous sommes partis du vélodrome des Olives (et oui, tout le monde connaît le Stade Vélodrome où il n’y a que du foot, or il existe une piste de 250 m dans le quartier des Olives) pour un départ fictif qui avait de l’allure. Ensuite place à la course, avec un départ commun Féminines et plus de 50 ans, les élites partant une 10zaine de minutes plus tard. Ambiance bon enfant avant le départ, sans resquilleur. Parcours vallonné avec un vent favorable dans la 1ère partie. Puis cap sur la Sainte Victoire avec la montée de St Antonin que je connais par cœur, et où nous sommes partis à 3. Ensuite bonne partie de manivelles, puis nous sommes repris par une 10zaine de coureurs. J’ai lâché sur une attaque dans la côte du Régage que les Aixois appellent la côte des Marseillais (et que les Marseillais appellent la côte des Aixois). Ensuite des longs bouts droits. L’élite de l’AVC Aix Thomas Rostollan nous reprend à 4 km de l’arrivée et nous dépose sur un carrefour. Restait l’arrivée sur le vélodrome après un tour de piste. Superfinal. Je fais 7ème au scratch à un peu plus de 3 minutes du vainqueur ; 1ère Féminine ; je remporte les Rush avec un maillot vert distinctif ; et je fais 3ème du grand prix de la montagne. En suite, tout se passe au sein du vélodrome dans un cadre très piste, avec un orchestre Jazzy, ça change des sonos assourdissantes ! De nombreux lots originaux ont été distribués. Pour ma part, j’ai reçu notamment un maillot aux couleurs de la Marseille Cyclo Classic avec mon nom brodé en tant que marraine de l’épreuve + un maillot pour la 1ère Féminine + 1 maillot vert pour avoir remporté les Rush.
Une question : citez moi une agglomération française de plus d’1 million d’habitants où l‘on est capable d’organiser 2 épreuves cyclosportives avec un départ en ville, dans une ambiance cool et sécurisée grâce au nombreux bénévoles et aux motards de la Police ? J’attends vos réponses, mais je ne vois que la cité phocéenne…
Je suis arrivée mercredi, avec les juniors et les féminines sélectionnées qui ne participaient pas au contre la montre. Reconnaissance du circuit annoncé comme plat, qui développait tout de même 120 m de dénivelé + sur 14 km, soit 1200 m pour les 10 tours.
Hôtel avec ambiance Equipe de France assez studieuse puisque tous les sélectionnés et l’encadrement étaient dans le même hôtel à proximité immédiate du circuit. J’en profite pour récupérer. Puis le temps égraine des déceptions (4ème place de Marion Souyris chez les Juniors Femmes. Belle démonstration des ses qualités de sprinteuse avec son gabarit de grimpeuse), et des satisfactions avec les médailles d’or de Demarre et de Lecuisinier. Une inconnue : y aura-t-il autant de chutes que lors des courses Juniors?
Et maintenant à nous, l’équipe de France Féminine, moyenne d’âge 26 ans dont je suis la doyenne du fait du retrait de Jeannie. Dès la signature ça commence mal. Je me fais renverser par un cycliste au maillot de Katoucha sorti de nulle part à vive allure qui ne m’aide même pas à me relever. Bilan : un bel hématome sur la hanche. Je remonte sur le vélo. Je peux pédaler, c’est l’essentiel. Après un 1er tour relativement tranquille, très compliqué de remonter. Il semble que certains spectateurs se soient ennuyés devant la retransmission TV. Sur le vélo, je n’ai pas ressenti la même sensation : je n’aurai pas échangé une place dans un canapé et ma place dans ce peloton avec un public nombreux (un peu moins qu’à Plouay ?) avec des amis présents Anne, Thomas, Monsieur et Madame Le Calvil (Jaja et Momo), merci pour vos encouragements !!. Avec une moyenne à près de 42 km/h sur 140 bornes, c’est probablement la moyenne la plus élevée de l’année pour une course féminine. Certains me feront remarquer que le vent était favorable, qu’il y avait beaucoup de descente, que les Juniors ont frôlé les 48 km/h. Sur le vélo, j’étais bien incapable de vous dire si tout ça c’est vrai ou faux à la différence de l’expert dans son canapé, et autour de moi, les sourires n’étaient pas de mise. Pas trop de chutes, contrairement aux Juniors le matin même. Pour le sprint d’arrivée, avant la flamme rouge, badaboum devant moi. Du coup badaboum. Le pied d’une concurrente est prisonnier dans mes rayons. Elle est prête à tout arracher ! Ah l’adrénaline ! Je change de roue pour finir à la 105ème place et dernière de l’équipe. Superbe 10ème place d’Aude Biannic du haut de ses 20 ans qui réussit à se glisser dans la roue de Vos lors du sprint. Christelle déçue à la 29ème place. Mélodie remonte sur la fin et se place 44ème. Audrey et Julie ont été prises dans les chutes.
Bilan : grosse déception car impossible de respecter les consignes de course données par Dany Bonnoront, la sélectionneuse. J’ai essayé…mais mon manque de métier et le circuit plat ne m’ont pas aidé. Cependant, à celui ou celle qui m’aurait dit en début d’année que je serais au championnat du Monde de Copenhague à 42 km/h, j’aurai répondu que c’était du n’importe quoi.
Reste pour la saison 2011, Marseille Cyclo Classic, dimanche prochain quasiment à la maison et le Chrono des Herbiers 15 jours après. Je dois digérer cette étape danoise, et me remettre sur le vélo de chrono. Cela ne va pas être simple, d’autant que je déménage à Marseille fin octobre. Je me rapproche de mon nouveau club…
La pression monte à 3 jours du décollage pour le Danemark. Je souhaitais faire du rythme. De plus cette édition 2011 me tenait à cœur puisque j’intègre le VC la Pomme Marseille et Ekoï était partenaire avec des lunettes pour tout inscrit et cuissard à prix réduit spécial Bosses du 13. Mais pas question de faire le grand parcours des Bosses du 13, pourtant mon préféré qui emprunte les montées que j’effectue lors de mes longues sorties : l’Espigoulier et la Saint Beaume par Saintt Zacharie. J’ai donc opté pour les 125 km du parcours moyen avec son retour par ses montagnes russes puis la montée de la Sainte Beaume par Auriol.
En 5 participations de suite aux Bosses du 13, c’est la 1ère fois où la météo n’était pas de la partie. MétéoFrance prévoyait des nuages le matin et des averses pour l’après-midi. La proximité de la mer, le vent et la température qui frôlait les 20° ont chamboulé ces prévisions. Résultat : un début d’orage avec une bonne pluie dès 7h, ce qui n’a pas empêché plus de 2000 participants de prendre le départ, dont Nathalie Simon n°1 et marraine de l’épreuve. Du coup, des chutes, des crevaisons, bref, les joies du vélo par temps humide.
La course : départ rythmé par les pros du VC la Pomme et Yohanne Bagot mais qui comme chaque année savent s’effacer par la suite. Nous avons monté la Céreste fort, alors que les 3 parcours étaient encore ensemble. Sélection efficace puisque nous nous sommes retrouvés un groupe d’un 10zaine dans Auriol. Descente prudente de l’Espigoulier, puis retour par Cassis et un vent peu favorable. Je finis à la 8ème place scratch, à 4’ du vainqueur Fabien Chaussepied, du VC la Pomme. Sur le grand parcours, David De Vecci du Team Ekoï bat au sprint Jean-Luc Chavanon (Team Chamrousse) et Michel Roux (Velo101), chaque décennie étant ainsi représentée sur ce podium.
Mes impressions : les jambes sont là. Malgré des conditions de course particulières, je suis contente d’avoir fait cette course. Allez, un peu de repos maintenant.
